Dans son édition du 9 avril, Le Temps s’aventure à affirmer que notre organisation, Paysage Libre Suisse (PLCH), serait opaque, et, de surcroît, « couverte » par l’Office fédéral de l’environnement (OFEV). Une série d’allégations y sont avancées pêle-mêle. A y regarder de plus près, il devient évident que ces accusations ne résistent à aucune analyse sérieuse.